Devenu esclave suite à la révolution

Catégories : FANTASME GAYS bondage SM sodom, fist club
il y a 4 ans

Dans cette histoire érotique BDSM très particulière, je me suis un peu amusé autour des manifestations anti racisme. Attention, il n’y a pas de CRS.

Les manifestations anti racisme et contre l’esclavage ont pris une telle ampleur qu’il est dangereux de sortir ces jours-là. Maître Paul fulmine chez lui après le gouvernement qui laisse faire. La répression ne semble plus exister après les casseurs s’en donnant à coeur joie pour piller et détruire les magasins.

Dans sa grande générosité d’âme, Maître Paul a donné sa soirée à son esclave noir, appelé soumis Sam pour qu’il aille voir sa famille. Lorsqu’il éteint la télévision après avoir écouter les informations, ne parlant plus que des manifestations anti- racisme ou contre l’esclavage, il prend une douche et va se coucher. Sa petite pipe du soir lui manque un peu, Sam est très doué pour le faire jouir avec sa bouche qu’il sait faire de velours.

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La guérilla en cours a tellement gagné du terrain que le gouvernement est renversé. L’armée est mise à mal de l’intérieur par l’organisation black and black infiltrée dans ses rangs. Privés de leurs armes et de leurs blindés, tous sabotés le même jour, les militaires ne peuvent plus faire grand chose contre les hordes de manifestants. Le nouveau président auto proclamé est un black, Macron est envoyé à la prison de Fresnes où, par accident, il est tué par des prisonniers. Les maisons d’arrêt sont ouvertes, les milliers de condamnés libérés circulent à présent librement.

Barricadé chez lui, Maître Paul s’inquiète, il aurait du partir à l’étranger avec sa femme, au lieu de vouloir rester chez eux pour protéger leur bien. Soudain, il entend un grand bruit. Il se précipite à la fenêtre et constate qu’un camion vient de défoncer son portail. Derrière le véhicule, des hommes armés courent vers sa maison. Seul contre eux avec un simple fusil de chasse, il sait qu’il n’a aucune chance.

La porte de son salon s’ouvre d’un coup et claque contre le mur. San, son esclave accompagné d’hommes armés rentre et lui conseille de poser son fusil sans quoi, il ne répond plus de rien. Maître Paul enrage mais sait que son esclave a raison. Il le laisse tomber à même le sol en priant le seigneur BDSM, le seul en qui il croit, d’intervenir en sa faveur. Les hommes armés l’obligent à s’agenouiller, Sam prend place dans le grand fauteuil de Maître, qu’il utilisait il y a peu dans les grandes soirées BDSM.

Maître Paul constate que cette milice armée semble être commandée par son esclave, ils suivent à la lettre chacune de ses directives et ne pillent pas la maison. Il est dévêtu sans ménagement et poussé devant son esclave qui, en d’autres temps, ne se serait jamais permis de s’asseoir dans son fauteuil. Il ferme les yeux en tremblant de peur et de rage quand des fers sont posés à ses chevilles.

  • Tu te souviens Maître que tu t’amusais à m’humilier, cela te faisait rire. Et quand j’essayais de me soustraire, tu me fouettais ou me donnais la fessée devant tout le monde comme si j’étais un gamin. Tiens, en parlant de gamin, combien de fois tu m’as imposé de porter des couches en disant que cela économisait les toilettes ou que tu n’avais, grâce à elle, pas besoin de te lever pour m’ouvrir la cage me servant de chambre, pour que je puisse aller me soulager.

Paul baisse la tête, les yeux rivés sur ses gros bracelets de bagnard reliés par de lourde chaîne, il sait que son avenir va être difficile et que son ancien esclave ne l’épargnera pas. Et encore, il fait parti des mieux lotis, de ceux qui ont été épargnés par la révolution, de nombreux Maîtres ont été pendus, certains par les couilles, d’autres ont été empalés jusqu’à que mort s’en suive.

  • Oui, je me souviens avoir été idiot mais j’ai toujours pris soin de ta santé, tu as toujours mangé à ta faim ! Répond Paul.

  • C’est vrai, tu as raison sur ce point, je n’ai jamais souffert de la faim. Je serai donc clément avec toi sur ces points là. Par contre, te dois te souvenir Maître que j’ai eu une sexualité très particulière...... Même pour ça tu ne m’as pas épargné. Combien de fois ai-je du te servir nu devant tout le monde, avec ma cage de chasteté bien visible quand ce n’est pas avec un plug queue de chien dans les fesses. Tu disais que c’était ta façon de castrer les esclaves pour éviter qu’ils se reproduisent ou s’épuisent en se masturbant.

Horrifié, en entendant cela, Paul commence à se demander s’il n’aurait pas mieux valu être tué, que sauvé par son ancien esclave.

  • Alors regarde Maître ce que j’ai pour toi ! C’est la cage de chasteté Castrat de chez ABCplaisir que tu m’as fait porter pendant cinq ans. Tu vas la mettre tout seul comme un grand et m’apporter les clés ! Ordonne Sam en lui tendant la cage de chasteté.

Paul maudit cette révolution, ce coup d’État qu’il aurait du prévoir, quand les Maîtres complètement fous ont décidé de lancer les jeux Olympiques des soumis. Entouré de cinq autres anciens esclaves assoiffés de vengeance, Paul sait qu’il doit abdiquer et qu’il est inutile de résister. S’il refuse, il va se faire massacrer et finira malgré tout avec cette cage de chasteté sur le sexe, dieu sait pour combien de temps. Autant éviter les douleurs inutiles et garder de l’énergie, pour essayer de se sauver à la première occasion.

Les mains tremblantes, il attrape la Castrat sans oser lever les yeux et entreprend de la mettre. Il n’a aucun problème pour passer l’anneau, et pour cause, il ne bande pas. Par contre, sa verge résiste et peine à entrer dans le micro tube qui va transformer sa belle bite en clitoris. Lorsqu’il y parvient, son sexe est terriblement compressé. Soudain un coup de crosse de fusil dans son dos, lui rappelle qu’il doit à présent remettre les clés à son ancien esclave.

  • Bien, tu vas à présent aller embrasser les pieds de mes amis et aller tout seul jusqu’à ta chambre, qui va devenir la mienne. Tu monteras sur le lit et te mettras à quatre pattes fesses en l’air. Cela fait dix ans que j’ai envie de te faire voir, ce que cela fait de recevoir sa récompense. C’est bien toi qui disais que « c’est la récompense de l’esclave de se faire enculer » !

Paul fait « oui » de la tête. Sam lui demande de répondre à haute voix. L’ancien Maître n’a pas d’autres choix que de répondre « Oui Sam ». Si répondre lui a été facile, s’imaginer passer à la casserole et se faire sodomiser le tétanise. Deux coups de fouet lui rappellent qu’il doit aller embrasser les pieds des cinq hommes assistant à cette cérémonie particulière où, l’ancien esclave est anobli et l’ancien Maître réduit à l’esclavage.

Il s’exécute à quatre pattes comme un bon chien et va déposer un baiser volontairement bruyant de façon à s’éviter de nouveau coups de fouet. Son humiliation est totale, faire le chien et embrasser les pieds d’anciens esclaves, avant de devoir aller offrir la voie de ses reins sur son ancienne chambre, quelle horreur.

  • Merci les amis, nous allons boire une flûte de son champagne et après vous pouvez partir Paul va être très sage, enfin, il vaut mieux pour lui s’il ne veux pas passer la nuit suspendu par les couilles !

En entendant ça, Paul sait que son ancien esclave ne plaisante pas, il s’est lui même amusé à ce jeu là, partiellement et sur de courtes durées. Il a eu, en quelque sorte, un bon professeur pour lui apprendre à faire plier les esclaves. Paul quitte le grand salon à quatre pattes et se rend dans son ancienne chambre, où il découvre que sa cage servant de lit a été placée à côté du lit. Il sait à présent où il va dormir. Il grimpe sur le matelas et prend la position demandée. Sa tête tourne un peu, sa respiration est difficile à cause de la peur et de la rage serrant ses tripes. De loin il entend sauter le bouchon de la bouteille de champagne et les voix s’animer, il en est à prier pour qu’ils prennent le temps, cela recule l’échéance de sa déchéance extrême.

Lorsque Sam le rejoint un moment plus tard, il se dévêtit totalement et jette ses habits sur la cage avant de s’installer dans le lit face à lui, jambes écartées.

  • Allez esclave, viens téter la belle bite qui va te rendre « heureuse » !

Le mot « heureuse » résonne dans la tête de Paul, comme un glaive tapant sur son crâne. Attrapé par l’oreille il est guidé vers la belle verge à présent libre, de son ancien esclave.

  • Applique-toi ou je te ferai regretter de me faire sentir tes dents. A propos de mauvaises idées que tu pourrais avoir, ce n’est pas moi qui ait les clés de tes fers, n’espères pas me tuer pour t’enfuir, cela ne ferait que t’exposer à l’enfer. Si par malheur tu t’échappes, j’ai demandé à ce que tu sois mis dans un bordel et non pas tué. Je vais devenir le Maître que tu as été, tu n’as pas été trop méchant, je ferai de même. Par contre, ne t’imagines surtout pas que je puisse être clément, tu seras puni pour chaque manquement. Allez suces-moi salope !

Le ciel vient de tomber sur la tête de Paul. Il sait à présent que son avenir va être très sombre, quoi qu’il arrive et quoi qu’il fasse. Se faire apprécier et satisfaire son Maître est donc la seule solution, pour ne pas trop souffrir et garder espoir. L’espoir de pouvoir s’échapper ou qu’une nouvelle révolution renverse la situation.

Paul prend en bouche la belle bite de son ancien esclave avec précaution et commence à lui faire la fellation demandée. Il lui fait une fellation avec beaucoup de conviction et l’espoir de le faire jouir, et surtout, de s’éviter la sodomie qu’il redoute. Sam est monté comme un âne.

  • Mais tu suces comme une reine toi, ralentis un peu ou je vais jouir petite salope !

En entendant ce compliment dont il se passerait bien, Paul comprend que Sam compte bien le dépuceler et lui faire subir ce qu’il lui a parfois fait, quand il avait trop envie de baiser. Quand Sam le repousse et attrape le tube de lubrifiant, il sait que l’heure des horreurs vient de sonner. Couché sur le dos manu militari, il s’affole quand son ancien esclave lubrifie son anus qu’il a parfois du lécher en guise de soumission. Avec ses gros doigts, il fait entrer du lubrifiant dans sa petite rondelle contractée de peur et de honte. Les chevilles tenues en l’air par les fers de bagnard, il ressemble à un bébé qui va être changé, hélas, ce n’est pas pour lui mettre une couche que Sam l’oblige à garder les pieds en l’air. Au contact du gland énorme, Paul perd pieds et se met à supplier son ancien esclave.

  • Va doucement s’il te plait !

  • Depuis quand les esclaves tutoient les Maîtres ? S’amuse à lui dire Sam bien décidé à recadrer son ancien Maître.

  • Pardon, allez doucement s’il vous plait Maître ! Supplie Paul.

  • Voilà qui est mieux, tu apprends vite ! Lui répond Sam en commençant à pousser du gland sur la rondelle refusant de s’ouvrir. Allez respires fort et fais comme si tu voulais aller aux toilettes, tu vas voir que cela va passer.

Si la position jambes en l’air et le lubrifiant facilitent la sodomie, Paul a l’impression que son anus prend feu. Soudain, d’un petit coup de rein, Sam parvient à passer les sphincters et à s’enfoncer profondément dans ce cul qu’il a x et x fois léché et dont il rêvait depuis longtemps. Paul ne goûte pas le plaisir de la sodomie à cet instant, il a juste l’impression d’être totalement distendu, quasiment déchiré.

Soudain, Sam se couche complètement sur lui et l’embrasse. La surprise crée la décontraction, la bite dans son cul gagne du terrain. Son ancien esclave lui roule une pelle d’enfer. En perdition, Paul se laisse embrasser et se surprend à rendre ce baiser, qu’il n’aurait jamais imaginer donner un jour.

  • Tu sais que je t’aimais en tant que Maître ! Lui dit Sam entre deux pelles et deux coups de bite.

Paul ne sait que répondre à cette déclaration d’amour.

  • Je pense que je vais t’aimer aussi en tant qu’esclave ! Rajoute Sam en commençant à s’agiter dans les fesses de Paul aux aboies.

Malgré la honte, au mépris de toute considération rationnelle, Paul commence à apprécier d’être ainsi possédé. La douleur fulgurante des coups de bite se mue à présent en une sorte de chaleur vivante, comme si un serpent de feu envahissait ses reins.

Au bout d’un moment de chevauchée, Paul n’est plus qu'un sexe, qu'une ouverture d'écluse. qu'un barrage qui s'effondre, sous un plaisir nouveau et inconnu jusqu’à ce jour. Il pleure, il crie de douleur, il crie des « encore » en totale perdition sous les coups de butoir le rendant fou. Sam finit par s’abandonner en se bloquant profondément dans ses reins comme pour pousser le plus loin possible ses jets de sperme. Les muscles encore agités des échos de ses spasmes fous, baignée de larmes et de sueur, Paul ne se comprend plus lui même. Il vient d’éprouver des sensations fabuleuses malgré la gigantesque humiliation.

Son ancien esclave encore figé dans ses reins, l’embrasse et le caresse avec douceur. La voix familière de sa femme raisonne dans sa tête. Lorsqu’il ouvre les yeux il la voit, elle est bien là.

  • Calme toi chéri, tu viens de faire un cauchemar. Veux-tu que j’aille te chercher un verre d’eau ?

  • Non, un whisky s’il te plait !

  • A une heure du matin ?

  • Oui, il me faudra au moins ça pour me remettre !

EPILOGUE

Maître Paul n’a pas d’esclave, Sam est juste un très bon soumis black rencontré sur Fessestivites. Avec sa femme, ils jouent régulièrement avec lui lors des rencontres BDSM qui, comme chacun sait, sont toujours très respectueuse malgré les jeux parfois un peu sadiques.

Malgré le fait que ce n’était qu’un cauchemar, Paul craint que cela soit prémonitoire car au printemps 2020, l’Europe n’assume plus la diversité raciale. Au lieu de chercher un juste équilibre pour que les peuples vivent en paix, elle laisse la racaille prendre de plus en plus de place. Déboulonner des statues, c’est chercher à gommer l’Histoire qui ne se refera jamais.

Tous les pays du monde ont des choses à se reprocher. Aucun n’est blanc et irréprochable et cela n’est pas en liaison avec une couleur de peau. Cela a toujours été une question de pouvoir et d’argent tout comme les guerres de religion.

JUSTE UN PEU D’HISTOIRE (pour recentrer les logiques)

Abd al-Rahman a mené les troupes musulmanes d'al-Andalus, contre les armées aquitaines d'Eudes et franques de ---> Charles Martel, lors de la bataille de Poitiers, en 732. Abd al-Rahman était originaire de la tribu arabe Tihamite de Ghafiq. Il a emménagé en Ifriqiya, la Tunisie actuelle.

Est-ce que la Tunisie doit présenter ses excuses à la France ?

Est-ce que les statues de Abd ar-Rahman que l’on peut trouver en Espagne et au Portugal doivent être déboulonnées ?

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Paul a décidé de déplacer le siège social de sa société en Australie et d’y acheter une maison pour s’y installer d’ici peu. Ne nous étonnons pas si de plus en plus de Français émigrent avec leur société.

Cette conclusion n’est pas raciste, bien au contraire, elle a juste comme objectif de recentrer les logiques.

TSM

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